Les meilleures déclarations du jour : « C’est comme si on était en colonie de vacances avec des amis »
« Je me suis laissé prendre. Je sais que la tête, c’est une zone très surveillée. Je vais devoir vivre avec ça pour toujours. »
Sam Cane, capitaine de la Nouvelle-Zélande, à propos de son carton rouge en finale contre l’Afrique du Sud.
« On a bu un verre ensemble avant notre match de préparation. Avec nos épouses, on a parlé d’un peu de tout, de la vie. Je suis content pour nous mais j’ai mal pour lui car je sais ce qu’il ressent. »
Jacques Nienaber, coach de l’Afrique du Sud, à propos d'Ian Foster, son homologue de la Nouvelle-Zélande.
« Les entraîneurs ont créé un environnement qui nous permet d'être avec nos familles, où que nous soyons, comme si nous étions chez nous. Il y a 15 à 20 enfants qui courent dans l'hôtel... C'est l'une des plus belles choses qu'ils aient pu faire pour nous. »
Siya Kolisi, capitaine de l’Afrique du Sud, à propos de l’ambiance dans le groupe.
« Je garde d’excellents souvenirs. L’aventure a été longue. Treize ans, ça file en un claquement de doigts. Vous m’avez connu au top de ma carrière, dans des périodes compliquées, mais quoi qu’il en soit, c’est bien de finir sur un gros match ce week-end. »
Le demi de mêlée de l’Angleterre Ben Youngs avant son dernier match sous les couleurs de l’Angleterre, la finale de bronze remportée face à l’Argentine.
« Le haka est un élément très important pour nous. C’est un élément essentiel de notre héritage et de la représentation de notre peuple. Il rassemble le groupe, c’est la dernière chose que nous faisons en groupe avant de jouer. Nous y puisons beaucoup d’énergie. »
L’ailier néo-zélandais Will Jordan à propos du haka.
« Ce que j’ai aimé, c’est qu’ils n’ont pas mis plus de pression sur l’équipe, ils l’ont au contraire allégée. Ils ont aidé les garçons à aller de l’avant et à avoir confiance en ce qu’ils font. »
Le sélectionneur de la Nouvelle-Zélande Ian Foster évoque l’avantage de recevoir la visite de légendes des All Blacks en amont de la finale de la Coupe du Monde de Rugby.
« Et on rit beaucoup - c’est comme si on était en colonie de vacances avec des amis - des blagues, des chambrages, des cafés. Tout cela me donne de l’énergie et c’est l’une des principales raisons pour lesquelles j’ai envie de me donner à fond pour la personne juste à côté de moi [le sélectionneur Ian Foster). »
Le demi d’ouverture de la Nouvelle-Zélande Richie Mo’unga.
« Il y a des millions de personnes qui nous regardent en ce moment. En ce qui nous concerne, si on peut dire qu’on a au moins contribué à rendre notre pays meilleur, notre équipe sera vraiment dans une position privilégiée. »
L’entraîneur adjoint de l’Afrique du Sud Mzwandile Stick.
« D'où nous venons, ce que les Springboks ont vécu, tous les obstacles que nous avons dû surmonter en tant qu'équipe, tout cela montre ce que notre pays représente, ce que ce maillot représente, [donc nous] ne le faisons pas seulement pour nous-mêmes, mais nous espérons vraiment inspirer tout notre pays. »
Cheslin Kolbe, ailier de l'Afrique du Sud, sur le fait que la finale de la Coupe du Monde de Rugby ne se résume pas au fait de soulever le trophée Webb Ellis.
« La vérité, c’est que si je ne jouais pas avec les Pumas, je ne sais pas si je trouverais la motivation pour me lever tous les matins et m’entraîner comme je le fais, et affronter la vie comme je le fais. Il y a quelques années, je rêvais de jouer sous ce maillot, et aujourd’hui, je ne peux plus m’en passer. »
Le flanker Marcos Kremer évoque l’importance que revêt pour lui le maillot des Pumas.
« Mais on peut se regarder dans les yeux. On a gagné ensemble, on va perdre ensemble. Là, on a juste besoin de passer quelques jours ensemble. »
Julian Montoya, capitaine de l'Argentine, après la défaite de son équipe de trois points contre l'Angleterre lors de la finale de bronze de vendredi 27 octobre.
« Je tiens à dire merci à tous les médias argentins et leur demander pardon pour mon horrible espagnol. »
Michael Cheika, sélectionneur de l'Argentine, quitte ses fonctions lors de la conférence de presse de la finale de bronze.
« Il y avait 78 000 personnes au stade ce soir, c’est énorme de jouer devant ces publics, surtout avec les supporters argentins, qui sont à fond et font beaucoup de bruit. »
Le talonneur de l’Angleterre Theo Dan ne se lasse pas de l'ambiance qui règne au Stade de France.
« Je ne suis pas surpris. Lors du Tournoi des Six Nations, c’est pareil. C’est toujours un peu différent de botter ici, en France. Mais ce n’est pas un problème. »
Owen Farrell, capitaine de l’Angleterre, à propos des huées qu’il reçoit continuellement.