Les meilleures déclarations du jour : « Si on était toujours sympas les uns envers les autres, on ne ferait pas ce travail »
« Il y avait pas mal de sourires à l’entraînement et en dehors. On profite de ces moments-là. On reste des humains. Il faut profiter de chaque instant. »
La deuxième ligne français Cameron Woki, à propos de la façon dont les Bleus abordent leur quart de finale contre l'Afrique du Sud.
« On est sereins parce qu’Antoine est revenu. »
Le talonneur français Peato Mauvaka, à propos de la sérénité affichée par les Bleus.
« Si on était toujours sympas les uns envers les autres, on ne ferait pas ce travail, on ne serait pas dignes de représenter les 60 millions de Sud-Africains. »
L’entraîneur adjoint de l’Afrique du Sud, Mzwandile Stick, quand on lui demande si la composition de l’équipe relève du casse-tête.
« Quand tu perds en quart de finale, tu pleures un coup mais tu sais que tu ne veux jamais revivre ça. »
Le talonneur gallois Dewi Lake sur la façon dont il vit la défaite en quarts de finale contre l’Argentine.
« Leurs supporters ont été énormes. On ne voit pas souvent de tels fans en rugby, on se serait crus dans un stade de foot, c’était immense. Ils les ont portés. »
L’ailier gallois Josh Adams, à propos de l'ambiance créée par les supporters argentins au Stade de Marseille.
« Je remercie la vie »
« Dès l’instant où j’ai posé le pied en France, j’ai su que je n’avais pas envie de rentrer à la maison, je comptais rester sept ou huit semaines. Je suis très heureux et maintenant, on va à Paris. »
L’ailier argentin Mateo Carreras exprime ses émotions après la qualification des Pumas pour les demi-finales.
« On sait que ça ne sera pas parfait, rien n’est parfait dans la vie. Ce qui compte, c’est la façon dont on saisit de l’instant présent et dont on se bat les uns pour les autres. C’est ça, le rugby. Encore deux semaines à passer avec cette équipe. J’ai envie que ça ne s’arrête jamais. »
La définition du rugby par le talonneur et capitaine argentin Julián Montoya
« On a réussi de belles choses, mais le sport est parfois cruel, et c’est sans doute pour ça qu’on l’aime. »
Le sélectionneur de l'Irlande, Andy Farrell, après le quart de finale épique perdu contre la Nouvelle-Zélande.
« Je remercie la vie. À 38 ans, c’est normal d’avoir des hauts et des bas. Je penserai à l’avenir au cours des prochaines semaines mais là, je vais profiter de ma famille. »
Le capitaine irlandais Johnny Sexton, quand on l’interroge sur son avenir après sa retraite internationale.