Les meilleures déclarations du 20 septembre
« A ce jour nous avons vendu plus de maillots de l’équipe de France que nous avions vendu de maillots de l’équipe du Japon sur toute la durée du tournoi au Japon en 2019. Les audiences télévisées au Japon ont également battu des records : 13,8 millions de spectateurs ont regardé le match contre le Chili, 15% de plus que leur premier match et 30% de plus que le match contre l’Irlande en 2019, leur deuxième match de poule. »
Michel Poussau, directeur exécutif du tournoi pour World Rugby, à propos des records d’audience enregistrés pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 jusqu’à présent.
« À trois ans et même pas deux ans, c’est vraiment difficile. Ils m’ont dit qu’il y avait beaucoup de bruit. »
George North, trois-quarts centre du pays de Galles, à propos de ses enfants.
« Quelle qu’en soit la raison, on n’est pas très aimés. Le public entonne les chants fidjiens, et il ne fait aucun doute que ce sera la même chose avec les chants gallois ce week-end. Mais ça ne nous pose pas de problèmes, on accepte ça. »
Tate McDermott, demi de mêlée de l’Australie, à propos du désamour des supporters à l’égard des Wallabies.
« J’ai reçu mon premier message de sa part vers 4h30 ce matin. C’est comme ça qu’il travaille. »
Neal Hatley, entraîneur de la mêlée de l’Australie, à propos de sa relation avec le sélectionneur Eddie Jones.
« La communauté française - je ne savais pas qu'elle était aussi passionnée de rugby. Je croyais qu'ici, c'était plutôt le football. C'est incroyable. »
Andre van der Bergh, arrière de la Namibie, à propos du soutien du public français à leur égard.
« À chaque fois ce sont des matchs incroyables. L’ambiance reste dans ce chaudron. Le bruit reste, les émotions restent, le ressenti reste. J’ai l’impression que le terrain tremble un peu. »
Charles Ollivon, troisième-ligne aile de l’équipe de France, à propos de l’ambiance au Stade de Marseille
« Quand j’entraînais le Canada (2008-2016), le Canada était largement au-dessus de l’Uruguay. Mais l’Uruguay s’est organisé. Ils disposent d’un centre de performance de haut niveau, ils ont mis en place une équipe qui joue ensemble ont envoyé des joueurs en France… Ils n’ont cessé de progresser et ont maintenant dépassé le Canada et les États-Unis. » Kieran Crowley, sélectionneur de l’Italie.